« L’idée que l’enseignant était le seul porte-voix du savoir nous semblait totalement obsolète » : C’est ainsi entre autres que Caroline Brottet-Aiello fait vendre son projet de l’école de demain. Baptisée Ecla, cette école du futur ramène déjà des tas de promesses avec elle dont la modernité, l’efficacité et la rapidité. Mais plus concrètement, comment ça marche ?

Ecla : Un aménagement différent

Dans l’école de demain, finit les cours face à face où les enfants ne sont pas majoritairement motivés et semblent être absents la plupart du temps. Les professeurs préconisent une proximité avec les élèves. On entre dans une phase plus participative de l’éducation comme le témoigne l’espace de travail ECLA dans le collège Public Jean-Philippe Rameau à Lyon.

Aujourd’hui, dans cet espace de travail, dors et déjà disponible, on trouve des mobiliers mobiles, des poufs déformables, un coin jeu et un autre pour les activités artistiques. Les moulures sont de couleurs plus claires. Et il semble que les enfants y sont beaucoup plus éveillés.

Des matériels biens plus dans l’ère du temps

Ici, exit les tableaux en face des élèves. Les cours se passent telle une conférence. Les tablettes sont les outils de travaillent. Ils deviennent des tableaux interactifs sur lesquels les enfants peuvent participer au cours.

Dans une société où le 2.0 prend de plus en plus de place, adapter les techniques d’apprentissage au besoin de chaque élève parait être la meilleure technique.

Quoi qu’il en soit, cette école des temps moderne est encore un projet en cours de développement actuellement. La salle ECLA a été présentée dans le salon spécialisé Educatec-Educatrice de Paris.  En France, elle a été un précurseur dans son domaine.

Néanmoins, d’ici 2020, « 50 lycées vont voir le jour en France » selon Christophe Caron.